Jeux d’ombres chinoises au crépuscule
La Delinais – 2006
Il y
a quelque chose d’intime dans ces formes découpées dans un ciel hivernal.
Au-delà de son espèce,
chaque arbre, dans sa nudité, possède sa propre silhouette, sa propre
individualité, ses propres cicatrices également, qui lui confèrent une sorte
d’humanité.
j'aimais déjà beaucoup cette photo mais depuis que je l'ai vu encadré et exposé, c'est devenu mon coup de coeur .
RépondreSupprimernico